lundi 29 février 2016

ENTRÉE LXXXIV (84) - YOUHOUHHHH!



ENTRÉE LXXXIV (84)
29-02-2016
YOUHOUHHHH!

Avant de commencer cette entrée je tiens à mentionner que les commentaires laissés sur  mon blog par les lecteurs et lectrices semblent disparaître Soyez rassurés, ce n’est pas moi qui les supprime. Je ne sais pas pourquoi cela arrive. Je vois que vous laissez des commentaires, mais je ne peux n’en lire qu’une partie et quand je vais sur le site lui même c'est indiqué 0 commentaire. Ron si tu peux m’éclairer j’apprécierais.

Alors les journées se suivent, mais ne se ressemblent pas. Aujourd’hui a mal commencé mais rapidement j’ai senti que mes « forces » revenaient. Cependant CACAHUÈTE demeurait un sérieux problème. Au lieu de me morfondre j’ai communiqué avec ma pharmacienne en oncologie de Sacré-Cœur. Après m’avoir rassuré que c’était des effets normaux, elle m’a suggéré de la médication pour me rétablir rapidement. Alors ni un ni deux Nycole m’a procuré l’immodium et le pédialyte. CACAHUÈTE a dû prendre son trou (hihihi). Plus de diarrhée!
 
Tout d’un coup, mon découragement de la nuit précédente était partie. La balayeuse et la mope étaient sorties et je me suis transformé en ADÈLE.

C’est fragile hein? Du découragement et de l’apathie je suis passé à la confiance, l’espérance et la mobilisation. CHIMIVIE c’est fort en sacrifice. Même si je me disais que mes symptômes ne dureront pas plus que quelques autres journées, je n’avais pas la capacité physique ou morale de susciter l’espérance ou de me donner un semblant d’allure. Je crois que c’est cela qui m’a découragé. Cela m’a pris par surprise, car j’écris suffisamment souvent dans mon blog qu’il faut garder le moral, être positif, etc… Ce n’était pas le cas ces jours-ci!

Alors aujourd’hui, après avoir pris les mesures pour me soigner convenablement soutenu par mes pharmaciennes du Sacré-Cœur et de Jean Coutu, j’ai réussi à me mobiliser autant physiquement que moralement. Malheureusement ou heureusement les émotions étaient à fleur de peau quand même. Donc j’ai eu à gérer mes larmes quand mon beau-frère et ma sœur (pauvres eux autres) m’ont fait la surprise d’un appel téléphonique provenant de leur bled à la mer. Soyez rassurés vous deux je me remets quand même.

Je me sens mieux, CACAHUÈTE est plus calme et je n’ai plus l’impression qu’un char d’assaut est assis sur mon corps.


J’ai eu aussi la chance de recevoir avant hier un courriel qui m’a fait beaucoup de bien et m’a rempli d’espérance. Pour protéger la personne en cause je n’en dirai pas plus. Mais cela devrait débloquer sur une rencontre. ARNOLD crée des possibles. La VIE nous crée des possibles constamment, il n’en tient qu’à nous de les accueillir. Parfois les possibles sont difficiles à actualiser, mais ils demeurent POSSIBLES si nous les voulons. C’est aussi cela, c’est « surtout » cela VIVRE. Dans ma vie, et probablement encore aujourd’hui, j’ai souvent passé à côté des POSSIBLES. J’espère que je le ferai de moins en moins tant que l’énergie me le permettra.



Alors hier c’était IMPATIENCE souhaitant devenir PATIENCE. Aujourd’hui c’est YOUHOUH. Ça fait du bien de se sentir vivant! Il s’agit maintenant de refaire mes forces pour me préparer pour le prochain traitement dans une semaine.


dimanche 28 février 2016

ENTRÉE LXXXIII - PATIENCE ET REPATIENCE

ENTRÉE LXXXIII

28-02-2016
PATIENCE ET REPATIENCE!

Pires effets secondaires depuis que mon traitement est commencé.
ARNOLD doit y goûter. Moi en tout cas j'y goûte.
Trop moche pour faire quoi que ce soit. Je ne fais que dormir.... diarrhée +++
Maux de tête,etc....
Cela fait trois jours que je dors sans arrêt ou presque....
Manquer la fête familiale aujourd'hui pour souligner les anniversaires des poupounes et de ma belle mère.
Je voulais consigner cela dans les souvenirs
C'est tout ce  que j'ai l'énergie d'écrire.. J'avoue que je vis du découragement ces jours ci mais je sais que bientôt ce devrait être passé. PATIENCE!!!!
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Il est 1h50 du matin, je me réveille et doit vider CACAHUÈTE encore une crisse de fois. Je me sens complètement découragé. Je suis surpris par ce découragement qui m'amène à penser pour la première fois que tout cela n'en vaut pas la peine. Je n'ai pas tant de patience ni de courage que tout le monde le dit. Je pense à une phrase que m'a dit un collègue parlant des effets de CHIMIVIE., "C'est cher payé pour survivre."

Je suis foncièrement une moumoune impatiente. Je n'ai pas le goût de vivre ma vie comme les dernières journées. C'est ridicule! La valeur de l'être humain ne se calcule pas dans ses actions ou sa productivité seulement j'en conviens. Mais quand ta vie se résume à dormir et chier y a ben un estie de boutte. Je sais, je sais, je terminais la première partie de cette entrée hier soir en disant PATIENCE, mais bon au coeur de la nuit, bien réveillé, faible comme un poulx, écoeuré d'être allongé (je vais développer des plaies de fauteuil si ça continue) et inutile à la vie, inquiétant les miens la PATIENCE fait défaut.

J'aimerais pouvoir, à la manière d'un super héros, rebondir les mains sur les hanches dans mon spandex (voyez vous cela) et donner une sacré volée aux effets secondaires afin que je puisse fonctionner un peu, mais bon je ne suis pas ce super héros. Je peux bien m'en faire croire, mais la vérité c'est que je me décourage facilement quand ça va mal. C'est un côté de moi d'ailleurs que je n'ai jamais très bien digéré. J'ai toujours trouvé que Nycole était beaucoup plus forte que moi. Enfin, cela dépend comment on définit la force évidemment. J'ai dit tellement souvent aux patients qui pleuraient que ce n'était pas un signe de faiblesse, mais bien de courage que de laisser les larmes couler. Je pleure facilement ces jours-ci. enfin ce siècle-ci, je l'ai mentionné plusieurs fois. Je n'en ai pas honte! C'est comme cela. Mais le découragement c'est autre chose.

De plus, je suis bien conscient que je suscite le découragement chez Nycole qui doit subir ce corps mort que je suis, allongé, inutile, dont CACAHUÈTE offre une symphonie de la quelle on se passerait bien. Ce n'est pas drôle pour elle d'être en ma présence quasi morbide. Tantôt elle partira travailler, heureusement pour elle. Une pause santé s'il en est une. Mais moi je serai encore là, allongé, inutile, bruyant et emmerdé (hihihi).

Bon bon le concert de "pauvre petit moi" ça va faire le gros! Il me semble que j'entends ma mère dire:" Donne toé un coup de pied dans le cul." Eh bien soit, je me donnerai un coup de pied dans le cul quand j'aurai assez d'énergie pour lever ma jambe... hahaha que je suis drôle.

Hier il nous a semblé à Nycole et moi que tout allait mal et que la VIE nous chiait dessus! Oui encore ce mot que j'utilise beaucoup trop dans cette entrée je suis d'accord, désolé. Je m'excuse à moi-même, c'est drôle ça. Nos amis confrontés à des difficultés, nos enfants confrontés à des difficultés, nous confrontés à des difficultés, la belle mère malade, l'avenir incertain, AAARRRGGGHHHH c'est comme trop. C'est comme si tout, autour de nous, allait mal. Rien ne semblait bien aller. En fait, RIEN n'allait bien c'est vrai. Et nous avons focussé que sur cela. En fait NON, nous nous sommes collés un peu plus, pris la main un peu plus, sourit un peu plus, accueilli nos larmes un peu plus. Nous nous sommes rappelés que ce n'est qu'un moment à passer et il passera, comme tous les autres moments de notre vie.

Patience et repatience!

P,s, EN écrivant la dernière phrase CACAHUÈTE s'est bruyamment fait entendre comme pour me rappeler que c'est lui le boss en ce moment. Allez hop à la toilette de nouveau.... je tenterai de dormir un peu.

vendredi 26 février 2016

ENTRÉE: LXXXII (82) - TRISTESSE ET BONHEUR!



ENTRÉE: LXXXII (82)
26-02-2016
TRISTESSE ET BONHEUR!

Eh bien hier je partageais brièvement ma tristesse. Elle s’est poursuivie pas mal aujourd’hui aussi. Les larmes étaient au rendez-vous. Surtout cet avant-midi. Nycole et moi avons partagé nos larmes, sachant que nous portons les mêmes craintes et inquiétudes.

J’ajoute aussi que j’ai filé moche toute la journée et accusé toute une fatigue. En fait, j’ai pratiquement dormi toute la journée. J’ai eu peu conscience que Nycole est allé chez Costco ce midi (en fait je dormais quand elle est partie). À son retour j’ai donné un coup de main, mais ensuite me suis rendormi jusqu’à 19h00 sauf pour le temps de partir un pot-au-feu. Cette fatigue extrême explique certainement ma grande émotivité des derniers jours. Donc pas de panique! Tout se replacera.

Ben oui, j’ai manqué une activité préférée le COSTCO. Que voulez-vous j’aime aller là. J’aime la variété de produits, les différents secteurs, avant j’aimais bien goûter les différents produits, mais maintenant que mon goût est tellement changé et que je porte le masque en publique ce n’est plus une motivation hahaha.

Bon tournons-nous vers quelque chose d’un peu plus sérieux. Je veux vous partager ce poème Perse que j’aime beaucoup :

« Ayant bu des mers entières, nous restons tout étonnés que nos lèvres soient encore aussi sèches que des plages, et toujours cherchons la mer pour les y tremper, sans voir que nos lèvres sont les plages et que nous sommes la mer. » Farīd al-Dīn ʿAṭṭār

J’aime ce texte. Il me rappelle qu’il ne me sert à rien de chercher le bonheur ailleurs qu’en moi-même. L’être humain a une capacité extraordinaire et une somme de ressources disponibles qui lui permettent de trouver le bonheur chaque jour. Quand j’étais en route pour PUNTA CANA on a rencontré un couple qui se chicanait alors qu’il s’apprêtait à prendre l’avion. Triste n’est-ce pas? Tu pars en voyage, à la mer, au chaud soleil du Sud et tu t’engueules. Cela m’a fait penser que si le voyage est pour être plaisant et source de plaisir, nourrissant mon bonheur, il ne dépendait que de moi de m’y mettre. Comme disait notre ancien d.g. le bonheur c’est comme du sucre à la crème, si tu en veux tu t’en fais. Ce fut toute une interpellation pour moi.

Donc ce poème me rappelle cette belle capacité de trouver mes ressources nécessaires au bonheur. Même si des moments de tristesse s’imposent. Aussi je pense avec regret (quoi que cela est inutile) à tous les moments de bonheur que j’ai manqués ou que j’ai laissé filés. Tous les moments où je me morfondais dans mon « malheur » au lieu de voir la chance que j’avais. Ces moments douloureux qui ont marqué certainement ma famille. Je porte des regrets d’avoir refusé ce que la VIE m’offrait de beau et ainsi j’ai privé ma famille de ces bonheurs aussi.

Heureusement mon cheminement de vie, mon travail auprès des grands malades, mes thérapies, mes formations m’ont aidé à reconnaître que le bonheur m’appartient et que ce n’est pas quelqu’un d’autre qui me le donnera. Ce qui n’élimine pas le fait que les gens autour de nous, les événements du quotidien peuvent participer à mon bonheur. Mais la source est en moi et non ailleurs.

Donc quand je vis des journées comme hier et aujourd’hui je me rappelle que le bonheur est là, il m’appartient, j’y ai droit. Il se peut que malgré que je sois triste le bonheur soit encore présent. Je n’ai qu’à retrouver le chemin vers lui.

En ce sens, je veux vous partager la suite de l’histoire du BAMBOO à laquelle j’ai fait allusion dans ma dernière entrée au blog.

Lors de notre voyae à HAWAII avec ma sœur et mon beau-frère, Nycole a semblé prendre plaisir à flatter le BAMBOO (voir photo). Son regard, sa main et la position corporelle étaient très suggestifs. Il n’en fallu pas plus pour que cet événement devienne un « running gag » tout au long du voyage. C'est comme si mon beau-frère découvrait un autre facette de Nycole qui le faisait rougir (sic). On a bien ri et Nycole s'est bien défendu d'être entichée du gros BAMBOO mais en vain.


Alors comme ma sœur et mon beau-frère étaient au COSTA RICA dernièrement. Ils ont visité une forêt et les BAMBOOS ont suscités une photo formidable de mon beau-frère faisant référence à la « passion » de Nycole pour le BAMBOO, ce qui explique son large sourire. (voir photo)



Quelle chance nous avons eu ces dernières années de voyager en Italie, à Hawaii, au Portugal, plusieurs voyages dans le Sud, des belles croisières en surplus. Alors on dirait que plus on devient conscient du bonheur qui nous habite, plus on veut VIVRE, moins on veut le perdre ce bonheur. ARNOLD a ajouté à ma conscience  la chance que j’ai d’être en vie et être aussi choyé et du coup il me rend triste sachant que cela peut être compromis à plus ou moins long terme. En même temps c’est vrai pour tout  le monde.

Alors je me dis, je nous dis, chaque moment, bon ou mauvais, de mon quotidien peut servir à mon bonheur. Dans un sens ou l’autre, en y ajoutant ou en me faisant prendre conscience de ce que je manque quand je suis trop négatif.

La tristesse fait partie de ma vie de façon plus dramatique depuis l’arrivée d’ARNOLD mais je ne veux pas lui céder mon bonheur. En tout cas le moins possible.

Soyez, soyons heureux!

jeudi 25 février 2016

ENTRÉE LXXXI (81) - TRISTESSE!



ENTRÉE LXXXI (81)
25-02-2016
TRISTESSE!

Aujourd’hui j’étais rempli de tristesse! Pourquoi? Je ne sais pas trop d’où ça vient. Mes pensées allaient trop vers l’avenir. Serais-je en vie assez longtemps pour voir Matthieu gagné humoriste de l’année? Assez longtemps pour voir mes petits-enfants grandir et devenir adulte? Assez longtemps pour voir Patricia et Christopher en couple (haha)? Assez vieux pour profiter de l’amour de Nycole en masse et surtout lui montrer le mien? Assez vieux et bien pour voyager encore?

Quand je me sens comme cela les émotions montent, les larmes coulent, le cœur grossit, le ciel s’assombrit. Heureusement que mes amis sont venus dîner. Cela m’a aidé à sortir de cette torpeur morbide.

Je dois dire que j’étais pas mal fatigué aujourd’hui et donc je suis plus vulnérable dans ces moment-là.

J’avais besoin de l’écrire!

ENTRÉE LXXX (80) - Mélimélo!



ENTRÉE LXXX (80)
24-02-2016
Mélimélo!

Les personnes qui me connaissent savent que je ne suis pas un homme très patient. Depuis qu’ARNOLD est dans ma vie et que je tente de VIVRE les plus sereinement possible, j’espère grandement corriger ce mauvais trait de caractère. Oh je sais l’impatience n’est pas nécessairement un mauvais trait de caractère, c’est plutôt son expression qui l’est. Ce matin je me suis ENCORE fâché après les poêlons qui tombent à chaque fois que je les approche. Je me suis fâché après le couteau que j’essuyais, mais qui s’est ramassé à terre. Remarquez je me fâche après les objets inanimés et non après le toton qui manipule les objets. Imaginez comment je suis quand je dois attendre en ligne, attendre pour une information, dans une discussion qui m’énerve, face à une vulnérabilité invalidante, enfin…  vous voyez le genre. Je suis déçu de voir que je perds encore du temps et de l’énergie à m’impatienter autant. J’aimerais bien rester ZEN tout le temps. Mais bon… j’ai encore du travail à faire.

Cela me ramène à une conversation sur le bonheur que nous avons eu durant les vacances. Certains experts disent que la disposition au bonheur chez l’humain se traduite comme ceci : chaque personne possède 50% de disposition au bonheur (gratuit c’est imprégné dans notre ADN), un 40% dépend de nos attitudes et nos comportements que nous développons au courant de notre vie et seulement 10% de notre bonheur dépend des événements externes à nous. Cela fait réfléchir n’est-ce pas? Pourquoi il y a tant de gens malheureux? Je peux faire le lien avec mon impatience qui agit sûrement sur mon bonheur. J’ai toujours envié les personnes qui semblent ZEN en tout temps (qui semblent je dis bien), pour qui le bonheur semble si facile (encore semble) et qui traverse la vie comme si un nuage d’ouate les portait. Moi je me suis déjà fait dire par une psychologue que le bonheur ne me serait jamais accessible. Je l’ai malheureusement cru pendant trop d’années jusqu’au jour où j’ai mieux intégré ma conviction que DIEU nous veut heureux.

Changement de sujet : « Je ne devrais pas me plaindre après tout avec ce que toi tu vis, c’est pas mal pire que mes petits problèmes. » Je comprends cette réaction, mais cela me questionne beaucoup. On ne peut pas comparer les malheurs, comme on ne peut pas comparer les souffrances. De plus, de s’empêcher ce genre de partage peut nuire à l’authenticité de la relation et peut t’empêcher de vivre TON et NOTRE moment présent. Cela fait quelque fois que j’entends cette phrase par des proches et des amis. S.v.p. ne pas vous retenir, sinon cela m’exclut d’une partie de votre vie. J’aime mieux savoir ce que vous vivez de difficile, que de penser que vous vous retenez pensant que je pourrais juger votre souffrance. Il est possible que vous m’entendiez dire « il y a pire que cela dans la vie » car évidemment ARNOLD m’a fait comprendre cela de façon dramatique. (Il faudrait que je me répète cela quand mes poêlons tombent hahaha.) Cependant avant de dire cela sachez que je saurai bien écouter sans juger la valeur de votre souffrance.

Pour ma belle-mère (qui veut surtout savoir comment je vais ) : Je vais mieux ce matin en tout cas. J’ai dormi toute une nuit de 22h30 à 6h50. Je suis heureux de cela car hier vraiment j’étais épuisé toute la journée. Donc ce matin, pour le moment, je vais bien, mais je sais que CHIMIVIE entreprend un quatre à cinq jours de travail une fois les dernières gouttes ont pénétré mon système. Donc cet après-midi au CLSC pour faire enlever le diffuseur car il sera vide. Je peux dire aussi que mon picotement dans ma langue a diminué un peu depuis que j’ai repris mon gargarisme que j’avais oublié durant mon voyage. Donc pour le moment si je ne touche pas au froid et ne boit pas froid j’arrive à contrôler mes neuropathies.

Alors voilà, bonne journée tout le monde… choisissez d’être heureux malgré les poêlons qui tombent…hahaha!